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Le terme "vices" provient du mot latin vitium, qui signifie défaut ou défaillance. Les vices font référence à de mauvaises habitudes ou à des activités immorales, communément observées chez les jeunes. Les exemples incluent la prostitution, l'habillement indécent, le vol, le culte, la toxicomanie, les erreurs d'examen, les jeux d'argent, le tabagisme, les activités sexuelles avant le mariage, le viol, l'alcoolisme et la consommation de substances illégales. Les vices sociaux sont des comportements qui contredisent les attentes de la société fondées sur des codes moraux établis et qui sont considérés comme nuisibles, malsains et désapprouvés par la société. Selon Igwe (2014), les vices sociaux sont des actions antisociales qui enfreignent les normes et les valeurs de la société, allant de l'habillement obscène à la fraude financière, en passant par le culte, l'enlèvement et le hooliganisme. De même, Omonijo et al. (2013) décrivent les vices sociaux comme des actions qui contreviennent aux valeurs culturelles et aux codes de conduite établis, par omission, commission ou négligence. Les vices sociaux découlent souvent de comportements inadaptés au sein de la société et sont particulièrement préjudiciables au système éducatif nigérian. Ayodele (2005) affirme que ces vices reflètent le caractère d'un peuple, exposant sa capacité de nuisance, sa cupidité et son égoïsme.
A propos de l'auteur
Mande Peter est enseignant et animateur d'une formation commerciale dans des établissements secondaires et tertiaires de l'État de Benue. Je suis titulaire d'une licence en gestion et administration des affaires de la prestigieuse université de l'État de Benue, à Makurdi.
