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Cette étude aborde la question de la solidarité sociale dans la responsabilité environnementale, avec pour objectif principal de rechercher l'efficacité de ce principe constitutionnel lorsqu'il est appliqué à des questions relatives à des dommages environnementaux. La définition même de l'environnement en tant que bien protégé par la loi manque de précision et de consensus parmi les spécialistes du sujet. Par conséquent, les dommages environnementaux et la relation de causalité entre l'agent et le dommage, éléments essentiels de la responsabilité civile, souffrent de la même nature de ces questions. Il est nécessaire de l'analyser à la lumière du texte constitutionnel, qui distingue l'environnement en tant que bien juridique du bien sur lequel s'exerce le droit de propriété. Considérant que la relation entre les activités humaines, l'impact sur l'environnement et le risque de dommages est de plus en plus évidente, la vigilance et l'attitude consistant à prendre soin de ce bien juridique de l'humanité est un devoir commun pour chacun d'entre nous. Ainsi, si notre héritage peut condamner ou soutenir les générations futures, la solidarité sociale basée sur le principe de la dignité de la vie humaine appliquée aux cas de dommages environnementaux semble être la plus appropriée.
A propos de l'auteur
Docteur en sociologie et titulaire d'une maîtrise en droit des affaires de l'université Cândido Mendes, spécialisé en négociation et médiation de la Harvard Law School. Juriste d'entreprise. Conférencier lors d'événements et de cours de courte durée liés à la durabilité et au droit économique, ainsi que conférencier invité à l'IBMEC, Rio de Janeiro et à l'IPREC, Angola.
