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L'évolution de chaque aspect de la technologie est riche en événements historiques, en études de cas et en expériences de chercheurs et de techniciens âgés. Cependant, en soi, la technologie n'est pas directement synonyme de bonté pour la société. Le besoin de ces notions de "bonté", de "bien faire les choses", d'"être juste", d'"éviter la souffrance des personnes, des animaux et de l'environnement" doit perdurer dans le monde moderne, malgré l'augmentation des pouvoirs et de la sophistication technologiques entre les mains des gens, dans tant de pays et dans toutes les facettes de la vie.Il existe donc un besoin académique et philosophique d'évaluer et de bien délimiter les facettes de l'éthique dans la nouvelle configuration sociétale et les dépendances technologiques. Ce manuscrit se concentrera sur l'analyse des composantes de l'"éthique des affaires" et sur la formulation d'un grand nombre d'interrogations de recherche concernant les notions d'éthique transposées à la technologie. La technologie visée ici est celle des TIC et de ses sous-domaines connexes.Cette recherche reste intrinsèquement un travail de vision et d'opinion. Ces opinions peuvent ne pas être partagées par d'autres chercheurs, mais la formulation d'opinions variées contribuera à enrichir le domaine de l'éthique à l'ère de la technologie.
A propos de l'auteur
Mohammad Kaleem Galamali est titulaire d'un doctorat de l'Université de technologie de Maurice (UTM) depuis avril 2022. Il travaille comme maître de conférences en TIC à l'Université des Mascareignes (UDM), République de Maurice, et est chercheur universitaire sur les perspectives théoriques de l'informatique omniprésente, l'apprentissage en ligne, les perspectives éthiques/visionnaires des TIC, les systèmes d'exploitation et la mise en réseau.
