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La pandémie COVID-19 s'est transformée en une urgence mondiale qui a conduit à une série de mesures visant à endiguer la propagation du virus SARS-Co-V2. Les gouvernements ont été contraints de restreindre drastiquement la liberté de mouvement des personnes, ce qui a notamment entraîné une réduction des activités physiques. L'enquête menée auprès de 176 personnes sportives à l'aide du Global Physical Activity Questionnaire GPAQ de l'OMS a montré une réduction significative des activités physiques intenses pendant les loisirs (p = 0,04) et des activités à pied ou à vélo pour se rendre d'un endroit à un autre (p = 0,002). Pendant le lockdown, les sportifs étaient significativement plus nombreux à s'asseoir et à se reposer (p < 0,001), mais aussi à dormir (p < 0,001). 45,5 % des sportifs se sont reposés plus longtemps et plus de la moitié des sujets (52,7 %) ont dormi plus longtemps. L'étude montre clairement que même les personnes actives sur le plan sportif bougeaient significativement moins et que le temps d'inactivité augmentait massivement. Les gouvernements du monde entier sont donc appelés à lancer des campagnes en faveur d'une vie plus active afin d'éviter les effets négatifs du manque d'activité physique sur la santé.
A propos de l'auteur
Nasci em Viena em 1964, estudei biologia na Universidade de Viena, recebi o meu doutoramento em 1990 e fundei a minha própria empresa em 1991, realizando estudos científicos e produzindo tanques de natação biologicamente purificados. Após treino como treinador mental, completei um mestrado em nutrição e desporto no DUK em 2021.
