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La communication insuffisante entre les différents acteurs individuels et sociaux de l'Équateur au cours de son histoire n'est pas une réalité étrangère à l'époque actuelle ; la différence réside dans le fait que la société équatorienne actuelle a acquis une certaine conscience de son espace et de son temps grâce aux sciences, à l'étude de la culture et aux changements civilisationnels liés aux processus de mondialisation et de régionalisation. Ce scénario appelle tous les acteurs à prendre des décisions concernant leur destin en tant que collectif social, c'est-à-dire, d'une part, à canaliser la nécessité et les possibilités de construire leur propre identité culturelle sur la base de processus politiques, économiques, sociaux, environnementaux et technologiques durables, ou, d'autre part, la désintégration du "moi social" s'aggravera définitivement, une situation qui rendrait l'existence de l'État équatorien irréalisable.
A propos de l'auteur
Carlos Flores Tapia: pracownik naukowy - Pontificia Universidad Católica del Ecuador. Doktor nauk spöecznych i prawnych - Uniwersytet w Kadyksie.Lissette Flores Cevallos: badacz - Pontificia Universidad Católica del Ecuador i doktor zarz¿dzania biznesem i ¿rodowiska gospodarczego.Daniel Flores Cevallos: ekspert w dziedzinie studiów wspó¿czesnych i psychologii.
