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Les émissions anthropiques sans précédent de dioxyde de carbone sont probablement à l'origine du réchauffement de la planète et des altérations actuelles des régimes climatiques dans le monde. La séquestration aquatique via les microalgues est l'une des méthodes efficaces de confiscation du CO2. Les microalgues, les ressources vivantes les plus importantes des systèmes d'eau douce et marins, peuvent être employées pour la séquestration du dioxyde de carbone de manière efficace car elles ont une efficacité photosynthétique plus élevée, une production de biomasse plus importante et un taux de croissance rapide par rapport aux autres cultures énergétiques. La présente étude a été entreprise dans le but de cribler les espèces de microalgues indigènes en fonction de leur efficacité à assimiler le carbone. Divers paramètres tels que le pH, l'oxygène dissous, la teneur en dioxyde de carbone libre, la micrométrie (taille des cellules), le nombre de cellules et la teneur en biomasse des cultures ont été calculés. Sur une évaluation globale, il a été remarqué que malgré un pH légèrement acide et un taux deCO2 libre plus élevé, les membres microalgaux étudiés ont montré un taux plus élevé de production d'oxygène dissous, un nombre de cellules plus élevé et une production de biomasse plus élevée dans le traitement, ce qui indique de manière caractéristique leur efficacité à atténuer leCO2 gazeux.
A propos de l'auteur
Dr. Karthika S Menon arbeitet derzeit als Assistenzprofessorin in der Abteilung für Botanik am Vimala College (Autonomous), Thrissur. Als begeisterte Forscherin entwickelt sie Pläne und Strategien zur Verhinderung und Kontrolle der Umweltverschmutzung mit umweltfreundlichen Techniken. Sie hat 20 Forschungsartikel und 4 Bücher in Zusammenarbeit mit etablierten Verlagen veröffentlicht.
