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L'intensité croissante des contacts interculturels crée de nouvelles exigences pour les diplômés universitaires. Ils doivent être capables d'interagir efficacement avec des locuteurs de langues et de cultures différentes, conformément aux tendances modernes. Entre-temps, l'objectif de l'enseignement des langues étrangères se transforme également : l'aptitude à surmonter les barrières culturelles est tout aussi importante que la capacité à faire face aux difficultés linguistiques. En conséquence, la plupart des instruments juridiques et réglementaires formulent le droit d'apprendre ensemble une langue et une culture et consacrent le développement de la compétence interculturelle des étudiants. Alors qu'auparavant, seul un groupe restreint de professionnels dont les activités étaient directement liées à la coopération internationale avait besoin d'une compétence interculturelle (CCI), aujourd'hui, à l'ère de la mondialisation, cette compétence devient essentielle pour toutes les professions. Parmi les autres professionnels de la santé, ils doivent également tenir compte des spécificités culturelles des parties impliquées dans l'interaction dans un établissement médical. Comme, en général, tous les aspects de la communication médecin-patient sont influencés par la culture, elle est devenue un facteur essentiel et clé de l'efficacité des soins. Dans cette monographie, les auteurs se penchent sur le problème de la formation de la compétence interculturelle chez les étudiants en médecine étrangers pendant leurs études.
A propos de l'auteur
F.A. Tumakaeva, professeur du département de langue russe, Université médicale d'État de Voronej, G.O. Papsheva, candidate aux sciences médicales, professeur de VGMA, S.V. Sherstnikova, maître de conférences, VGMA
