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De l'avant-guerre jusqu'à sa mort en 1981, Marthe
Robin a vécu à Châteauneuf-de-Galaure paralysée,
dans l'obscurité, sans dormir, souffrant et revivant
chaque vendredi la Passion du Christ dont elle
affichait les stigmates. Ces prodiges et sa réputation
provoquèrent l'afflux des foules.
Jean-Jacques Antier a passé au crible de la critique
historique, de la théologie et de la psychiatrie cette
existence extraordinaire, en s'appuyant sur des
centaines de témoignages et les archives de ces
Foyers de charité que Marthe créa avec le père Finet
à travers le monde.