I am not a serial Killer (2016) (Limited Edition, Mediabook, Blu-ray + DVD)

Kundenrezensionen

• Le goût et la couleur...

  Am 24. März 2017 von Aerosniff Someglue geschrieben.
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  si ça plaît à certain, tant mieux…
  
  C'est gentil, on a le droit d'aimer un film que Môssieur n'apprécie pas!
  
  et tant pis pour leurs cerveaux.
  
  Ah non, ceux qui aiment sont des abrutis.
  
  Pas trop de difficultés à franchir les portes, et les chevilles, ça va?

• Assez, voire complètement nul !

  Am 12. März 2017 von Bibo geschrieben.
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  Franchement, je suis probablement, voire sans doute passé à côté de quelque chose dans ce film.
  À vrai dire, j’y ai rien compris.
  Mais même en étant un immense cinéphile, je n’ai pas vraiment envie d le revoir. Simplement peut-être de le comprendre.
  Car je me suis ennuyé sec. J’ai dû m’y reprendre trois soirs de suite, car je me suis endormi deux fois devant ce film.
  
  C’est marrant : il y a un personnage qui s’appelle Max dans ce film, alors que l’acteur principal s’appelle justement Max Records et il a joué dans… Max et les Maximonstres !!! Aucun charisme dans ce film, en passant.
  
  Sinon, j’aurais envie de dire que c’est toujours un plaisir de revoir Christopher Lloyd… mais là, ça va vraiment être très difficile de le penser. Il aurait vraiment dû s’arrêter l’époque et ne pas revenir/réapparaître dans des navets tels que Piranha 1 et 2 !
  Non, Christopher c’est avant tout Emmett Brown dans Retour vers le Futur.
  Et comble : il y a justement aussi un Emmet dans ce film !
  C’est le fou qui crie parce que la cigarette le brûle et celui qui crie à la fin du film dans « Vol au-dessus d’un nid de coucou ».
  C’est le méchant de Roger Rabbit, le chauve dans la famille Addams.
  Quelle misère !
  Bien qu’on retrouve ses mimiques, on sent qu’il a vieilli, même si on a envie qu’il reste le même.
  
  En tout cas, rien ne sauve pas ce film, hélas. Pourtant, j’ai lu plein de critiques positifs dessus. On ne doit pas venir de la même planète. Je comprends les personnes négatives qui disent que les films de notre époque sont catastrophiques. C’est fou tous ces daubes qui sont encore apparus en 2016. Et 2017 n’en sera que la continuation.
  Dire que j’ai trouvé cette critique sur le net :
  « Avec Reservoir Dogs, il a suffi d’une heure et trente-neuf minutes à Quentin Tarantino pour pulvériser les limites du genre et démoder d’un coup tous les notables du thriller. Avec Je ne suis pas un serial killer, Dan Wells réussit le même exploit en moins de trois cents pages. » Book Apart
  
  Bref…
  si ça plaît à certain, tant mieux… et tant pis pour leurs cerveaux.
  Je n’ai pas senti de psychologue, de subtilité. Je n’ai même pas été diverti ,ami endormi. Une catastrophe soporifique.