Bedingungslos (2007)

Kundenrezensionen

• beautiful

  Am 29. Dezember 2010 von DH geschrieben.

  Ein Muss!
  Wunderschöne Bilder, gute Schauspieler, guter Regisseur

• ganz ok

  Am 18. Juni 2010 von romano geschrieben.

  also 1. ist es nicht zu vergleichen mit nightwatch.
  der anfang ist etwas eigenartig aber mit der zeit bekommt der film immer mehr schwung und zum schluss kommen die aha effekte

• anstrengend

  Am 17. November 2009 von stilsicher geschrieben.

  aber gut

• überwältigt!

  Am 19. Oktober 2009 von nosferatu man geschrieben.

  ein exzellenter Film. Inszenierung, Schauspieler, Plot - in jeder Hinsicht überzeugend. Das schreit förmlich nach nem (schlechten) Hollywood-Remake =)

• Spitzen Film

  Am 13. Oktober 2009 von smörebröd geschrieben.

  Sehr spannender und emotionaler Krimi. Es kommt weder langeweile noch sackt der film irgendwo mal ab!!
  genau so soll, darf und muss ein guter Film sein

• Dänischer Film der Extraklasse

  Am 28. September 2009 von Harry geschrieben.

  Dieser Film hat mich total überrascht und von Anfang bis Ende mit Spannung gefesselt.

• NOT at all another love story

  Am 07. August 2009 von silversurfer geschrieben.

  Super konstruierter wunderbar gefilmter Thriller welcher von anfang bis ende zu packen mag....

• Sympa, mais...

  Am 18. Juni 2025 von Bibo geschrieben.
  Diese Kundenrezension bezieht sich auf eine alternative Version.

  En danois : Kærlighed på film
  
  J’ai vu au moins quatre films de Ole Bornedal qui s'est illustré outre-Atlantique.
  J’aime beaucoup le Nightwatch de 1994 et, du coup, j’ai visionné sa suite de 2023.
  J’aime vraiment beaucoup The Possession (2012) et The Shadow in My Eye (2021) est le meilleur qu’il ait fait. Contrairement à celui-ci qui, d’après moi, est le pire !
  
  Oui, je sais que pas mal de gens ont aimé. Mais forcément : c’est malsain et écœurant !
  C’est ce qui plaît aux gens de nos époques…
  
  Bon, je n’ai pas encore vu Deliver us from Evil (2009), Small Town Killers (2016) ou encore The Substitute (2007), car je n’ai pas encore accès à ces films. Mais je veux bien les voir.
  
  Ce film danois est ultra tordu et dérangeant. On y voit de la faiblesse, de la trahison, de l’adultère, donc plein de mensonges et de lâcheté, mais aussi un gros accident de voiture et de la confusion identitaire. Ce n’est pas juste une autre histoire d’amour et vous comprendrez que le titre est volontairement trompeur. Mais si vous voulez vraiment voir une romance ou comédie romantique, évitez à tout prix les films de Bornedal !
  
  Difficile de le trouver nul, encore plus impossible de le trouver excellent. On y sent une influence d'Almodovar, mais encore plus noire. "Just another love story" est une histoire complexe jonglant en permanence entre le drame psychologique et le thriller. Un peu bancal par instant, involontairement drôle parfois, ce film réussit pourtant à capter l'attention du spectateur grâce à une manière de filmer et de superposer les plans qui rappellent les jeunes années d'un certain Darren Aronofsky. En effet, le réalisateur déconstruit sa narration par flashs à la façon d’un Requiem for a Dream (2000).
  
  Le pitch de départ annonce la couleur d'emblée avec une galerie de personnages inclassables dont la façon de penser sort largement des sentiers battus.
  
  Une fois de plus, les dialogues sont intéressants et sa réalisation aussi. Surprenant, déséquilibré, mais empli de trouvailles scénaristiques et visuelles qui forcent le respect, ce long-métrage mérite qu'on s'y attarde, bien que je ne l’ai pas adoré. Cela change de bien des productions scandinaves pseudo intellectuelles et au rythme lent. Ici, il y a un peu d'action et de la réflexion en même temps, mais le récit n’est particulièrement bien maîtrisé et on aurait pu souhaiter une autre fin.
  
  Une intrigue dramatique qui prend des airs de thriller, Danemark oblige ! Le résultat se suit sans trop déplaisir. Une vie en parallèle et une nouvelle identité, bien plus séduisante, n’est-ce pas le rêve de pas mal de personnes ? Surtout quand ça pend le pas sur la précédente, subordonnée, par exemple, aux courses à faire, le matin, avec femme et enfants !
  
  J’ai dit, tout au début que c’est le pire film d’Ole Bornedal que j’ai vu, mais j’ai aussi dit qu’il mérite qu'on s'y attarde. Non, je ne suis pas bipolaire, ni lunatique, mais j’essaie d’être objectif. Tout ce que je n’aime pas n’est pas mauvais.
  
  Mais je ne prétendrais pas être autre chose qu'incroyablement déçu par ce film, au fond. Même si je ne l’ai pas détesté et qu’il a plein de bons points. J’en attendais nettement plus, c’est tout. Je ne m'attarderai pas sur l'intrigue qui peut, au mieux, être décrite comme désordonnée et incohérente.
  
  Le jeu des acteurs était décent, malgré plus que quelques moments de déséquilibre entre les réactions des personnages et leur sentiment dans certaines scènes, mais je conçois que c’est un exercice difficile que d'avoir cette cohérence.
  
  Le véritable coupable de ce film relativement désastreux est son réalisateur qui a réussi à mettre dans son histoire tout ce qu'il y a de pire dans le cinéma danois. En effet, si vous n’aimez pas le cinéma de cette région, je ne pense pas que celui-ci va vous le faire apprécier. Sauf si vous avez un esprit complètement tordu et sinistre.

• Suite et fin de ma critique !!!

  Am 18. Juni 2025 von Bibo geschrieben.
  Diese Kundenrezension bezieht sich auf eine alternative Version.

  De la surutilisation inutile du macabre à l'exploitation des émotions humaines d'une manière presque pornographique, le spectateur a le sentiment d'une réalité qui fétichise le côté sombre de la vie d'une manière très dérangeante. C’est comme si les pires choses n’étaient pas si graves.
  
  Cette critique, que j’ai lu, m’a intrigué et même rassuré : «Pour ma part, j'ai réussi à être plus frustré et en colère que je ne l'ai jamais été en regardant un film. Une œuvre absolument atroce qui ne veut attirer que les personnes émotionnellement instables...»
  
  Oui, sauf si l'on arrive vraiment à mettre une barrière entre le cinéma et notre propre vie, entre l’écran et notre réalité. Mais, dans ce cas précis, ne sommes nous pas sans émotion, blindé contre tout ? Si c’est le cas, c’est la définition du psychopathe, non ?!