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L'histoire nous montre que presque toutes les sociétés étaient fondées sur la peur. La soumission au « gouvernement » et à son pouvoir était la seule chose qui pouvait procurer un certain sentiment de sécurité et, en même temps, une certaine forme de « liberté ». Le terme « terreur », qui a été introduit par la violence de la guerre, est devenu une sorte d'épée suspendue au-dessus des têtes et prête à couper la tête de ceux qui élèveraient la « voix » contre le gouvernement. Dès les premières sociétés, la terreur a été le principal instrument d'asservissement du peuple, un instrument qui garantit la subordination de la majorité. Cet instrument est encore utilisé aujourd'hui, mais son « apparence » est plus sophistiquée et il n'est pas nécessaire d'asservir des communautés entières pour montrer sa subordination à quelqu'un. En ces temps modernes, il suffit d'un acte de violence effroyable pour que les médias fassent le reste, ce qui signifie que si le terrorisme est la « maladie », les médias sont son « transmetteur » pour répandre la peur sur l'ensemble de la communauté.
Über den Autor / die Autorin
Dimitar Stevchev obteve o seu Mestrado em Ciências da Segurança pela Universidade FON - Faculdade de Detectives e Segurança. Participou em cursos da NATO, INTERPOL, FEMA, US. Department of Homeland Security e muitas outras instituições e academias. Participou num curso de formação sobre terrorismo e contra-terrorismo em Herzliya, Israel.
