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On en déduit que les bénéfices économiques du café et du cacao en faveur du producteur ne sont pas compétitifs en tant que cultures alternatives à la coca compte tenu des soldes limités qui sont obtenus par les producteurs, cette réalité devient évidente après avoir évalué une seule récolte/ha. par an dans les cultures de coca, café et cacao (la coca offre un revenu plus élevé pour les familles car elle rapporte quatre récoltes dans l'année). En outre, il est théorisé que les cultures de café et de cacao comme cultures alternatives à la coca sans processus agro-industriel post-récolte ne sont pas une bonne pratique économiquement et financièrement raisonnable pour promouvoir des alternatives agricoles à la culture de la feuille de coca, qui est une sorte de production constante. Enfin, nous concluons en affirmant que ces résultats montrent l'indifférence du paysan à éradiquer la culture de la coca, puisqu'il dispose d'une fenêtre ouverte pour la vente de la feuille de coca, principalement aux trafiquants de drogue, non seulement parce que ce sont eux qui demandent le plus ce produit, mais aussi parce qu'ils paient le mieux, sans trop se soucier de la qualité du produit.
Über den Autor / die Autorin
Laurea in Ingegneria Agraria. Lavoro professionale 1979 - 89 - PEPMI, Plan MERIS I Etapa SC. Specializzazione 1985 "Gestione e conservazione dell'acqua e del suolo" The Irrigation Center Utah State University USA. Insegnante universitario 1990 - 92 - UNCP, 1994 - 95 UNAS, aprile 2003 - 23 UNH. Master post-laurea 2008 -10, dottorato di ricerca 2017-19.
