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Cette étude est basée sur les victimes qui ont été emprisonnées pendant longtemps puis libérées dans une nouvelle situation, la plupart d'entre elles ne sont pas acceptées par la société, elles finissent par être très frustrées et peuvent facilement retourner à la criminalité, d'autres peuvent vouloir changer mais la société ne leur donne pas une chance de se réformer. D'autres veulent changer mais la société ne leur donne pas la chance de se réformer. Certains ont retrouvé leurs biens en termes d'actifs et de biens pris par leurs proches, les ramenant dans des affaires où la société leur trouve toujours des défauts. Les prisons les relâchent dans la société sans nécessairement se soucier de l'endroit où ils les envoient. L'étude a été réalisée en interrogeant le département des prisons, en observant et en interrogeant les prisonniers libérés. En conclusion, le gouvernement doit suivre l'impact de la prison en s'assurant que les anciens criminels se réinsèrent dans la société, sans quoi la réhabilitation ne sera pas complète.
Über den Autor / die Autorin
Teresa Wamuchii Njuki est actuellement doctorante en gestion de projet à l'Université de Nairobi. Elle est titulaire d'une maîtrise en développement communautaire et en sociologie rurale, et d'un diplôme en sociologie et en économie, de l'UoN. Elle occupe actuellement un poste de responsable du développement de la jeunesse au sein du département d'État pour la jeunesse au Kenya, dans le comté de Nyeri.
