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La catastrophe écologique marine a causé de graves pertes pour les ménages fournissant des services liés à la pêche, à hauteur de 215,8 millions de dollars par ménage en moyenne. Compte tenu des options très limitées pour changer de moyens de subsistance, les populations locales ont pour la plupart des réponses très passives qui ne peuvent être maintenues sur le long terme. Au fil du temps, avec l'aide en nature et en espèces du gouvernement et l'amélioration de la qualité de l'eau, la situation s'améliore. Après 33 mois, le revenu moyen a atteint 87% du montant précédent et cette étude de cas a permis de tirer des leçons importantes pour les ménages et le gouvernement local en termes de surveillance régulière de l'eau et de diversification des activités de subsistance pour devenir moins vulnérables aux catastrophes. La recherche et le développement biotechnologiques se développent à un rythme très rapide. Ces dernières années, la biotechnologie a pris une importance considérable dans le développement de la pêche, de l'agriculture et de la santé humaine. La science de la biotechnologie nous a doté de nouveaux outils et d'un pouvoir considérable pour créer de nouveaux gènes et génotypes de plantes, d'animaux et de poissons. L'application de la biotechnologie dans le secteur de la pêche est une pratique relativement récente.
Über den Autor / die Autorin
Dr. B. Deivasigamani, trabalhando como Professor Assistente e Investigador Principal em Biologia Marinha CAS, Faculdade de Ciências Marinhas, Universidade Annamalai, Parangipettai-608502. Ele completou o M.Sc., M. Phil, e Ph.D., do Colégio de Pachaiyappa, Universidade de Madras, Chennai-30.
