Mehr lesen
Informationen zum Autor Mohamed Chniter Titulaire d¿un mastère en Génétique et Bioressources de la Faculté des Sciences de Tunis et d¿un doctorat en Sciences Agronomiques spécialité Agriculture Durable de l¿Institut Supérieur Agronomique de Chott-Mariem de Sousse. Domaines d'intérêt: Production Animale, Physiologie et Comportement des ruminants. Klappentext En moyenne chaque troupeau des dromadaires Maghrebi élevés dans les parcours naturels du sud tunisien est constitué de 73 têtes dont 63% sont des femelles adultes, 36% des femelles et de mâles non pubères et un géniteur. La productivité est faible à cause d¿un intervalle entre deux mise-bas de l¿ordre de 24 mois. La complémentation alimentaire au cours des saisons critiques est une pratique courante. En plus, la stratégie de transhumance vers les parcours de Dhahars semble une activité indispensable pour les éleveurs des différentes régions. Cinq types des dromadaires Maghrebi ont été définis selon les groupes ethniques propriétaires. Il s¿agit des types Ourdhaoui Médenine chez les Tawazin, Ourdhaoui Tataouine chez les Oudarna, Guiloufi chez les Beni Guilouf de Kébili, Gueoudi chez Ouled Gharib de Kébili et le type Merzougui chez les Marazigue à Kébili. Ces types ont montré des différences significatives au niveau de certains traits corporels. L¿appréciation de la coloration de la robe décèle six couleurs vernaculaires qui virent de la blanche à la grise et incluant le phénotype Chagra, Chaâla, Safra, Hajla, Hamra et Zargua.
Über den Autor / die Autorin
Mohamed Chniter Titulaire d'un mastère en Génétique et Bioressources de la Faculté des Sciences de Tunis et d'un doctorat en Sciences Agronomiques spécialité Agriculture Durable de l'Institut Supérieur Agronomique de Chott-Mariem de Sousse. Domaines d'intérêt: Production Animale, Physiologie et Comportement des ruminants.
