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Le SARM est reconnu comme un agent pathogène de plus en plus important dans les milieux hospitaliers et communautaires à travers le monde. Les patients colonisés ne présentant aucun signe d'infection constituent de loin le réservoir le plus important du SARM et la source principale de propagation et d'infections ultérieures. Les narines antérieures sont les sites de colonisation les plus importants. Les effets secondaires nombreux et graves des antibiotiques couramment utilisés, associés au développement de pathogènes humains résistants à la plupart des antibiotiques couramment utilisés, rendent nécessaire la recherche de nouveaux agents antimicrobiens alternatifs provenant d'autres sources, notamment les plantes. Le présent travail visait à étudier la présence du SARM chez les patients, les professionnels de santé et les membres de la communauté, ainsi qu'à tester l'effet d'extraits de thé (noir et vert) sur les isolats de S. aureus détectés.
