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La rétention des étudiants dans l'enseignement supérieur est un sujet de préoccupation nationale. Les organismes de réglementation se concentrent davantage sur les résultats des établissements (par exemple, les taux de rétention et d'obtention de diplôme) pour le financement basé sur la performance, qui est essentiel à la viabilité des établissements privés et publics. La responsabilité accrue imposée par les organismes de réglementation et la nécessité de gérer efficacement la rétention des étudiants ont permis aux logiciels de rétention des étudiants de se développer au cours de la dernière décennie. L'objectif de ces logiciels de rétention des étudiants est d'identifier les étudiants les plus susceptibles d'abandonner et de fonctionner comme un système d'alerte précoce. Bien que l'efficacité des logiciels de rétention ait été examinée, elle l'a été au cas par cas, en examinant l'impact des logiciels de rétention au sein d'un seul établissement. Afin de mieux argumenter sur l'efficacité des logiciels de rétention, une analyse plus complète est nécessaire. Cette étude examine la relation entre les logiciels de rétention, les taux de rétention et les taux de diplomation et constate qu'il n'y a pas de corrélation entre les résultats des établissements et que les logiciels de rétention n'entraînent pas d'amélioration des résultats des établissements.
Info autore
Le Dr Fiorella Penaloza a près de dix ans d'expérience dans l'enseignement supérieur. Dans le passé, elle a participé à la gestion de programmes STEM et d'organisations scientifiques. Dans son rôle actuel, elle est directrice de l'efficacité institutionnelle au Briarcliffe College, où elle supervise la recherche institutionnelle et les pratiques d'évaluation institutionnelle.
