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L'étude évalue le potentiel des résidus de maïs et de riz pour l'électrification rurale au Ghana en utilisant le district d'Ejisu-Juaben comme étude de cas. L'objectif de la thèse était basé sur les voies des résidus agricoles pour la production d'électricité en milieu rural. Plus précisément, il s'agissait d'évaluer le potentiel des résidus de culture pour l'électrification rurale dans le district d'Ejisu-Juaben par gazéification ou combustion en utilisant les outils et l'approche de l'évaluation rapide du BEFS. La canne de maïs génère la plus grande quantité de résidus, contribuant à hauteur de 88% en poids du total des résidus disponibles. Les résultats montrent que la voie de la combustion est le choix le plus judicieux car elle enregistre le prix unitaire de l'électricité le plus bas, soit 1,36 USD par kWh, contre 1,37 USD par kWh pour la gazéification. La voie de la combustion peut créer 14 usines potentielles, 74 emplois potentiels et 184 connexions électriques domestiques.
Info autore
M. Wilson Ofori Sarkodie est titulaire d'un master en ingénierie énergétique de l'Institut des sciences de l'eau et de l'énergie (y compris le changement climatique) de l'Université panafricaine (PAUWES). Il a également obtenu une licence en ingénierie agricole à l'université Kwame Nkrumah des sciences et technologies (KNUST) à Kumasi, au Ghana.
