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De nos jours, la relation entre la nature et la culture à évidemment chahutée avec les processus d'anthropisation, d'urbanisation et d'industrialisation des espaces naturels. Dans ces dynamiques, notre être au monde est rarement pris en considération. Or, comme nous le rappelle Xavier Bonnaud dans une stimulante contribution, l'espace physique, dans sa concrétude, participe pourtant de l'élaboration de notre rapport au monde. A cet effet, l'espace, dit-il, influe notre assise dans le monde physique, il participe de notre ancrage dans le monde. Or, l'industrialisation et l'urbanisme ont participés de façon effective à la dégradation de l'environnement. En effet, la demande de projets mixtes de grandes dimensions et la nécessité de réduire les délais d'exécution ayant augmenté, les outils, les machines, les processus et les matériaux permettant de les réaliser ont évolué. Cela s'est produit sans contrôle ni considération pour les écosystèmes. Bien que la seule façon de modifier l'impact de la construction soit de modifier les processus ou les critères, nous présentons ci-dessous les points les plus pertinents pour réduire l'impact sur l'environnement.
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Gemaël Yanick MBOUMBA MBOUMBA, d'origine congolaise, est auteur de plusieurs livres. Il est titulaire d'une licence en Philosophie des Sciences et d'un Master en Philosophie du Changement Climatique.
