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«J'ai eu la chance insigne d'être le témoin, le chroniqueur et,
parfois, le second de M. Sherlock Holmes... Les dix années
qui se sont écoulées depuis sa mort m'ont donné tout le
temps de méditer sur sa personnalité... J'en suis venu à
prendre conscience que l'émotivité était un élément de sa
nature qu'il cherchait à supprimer... et il prenait aussi de la
cocaïne.»
Ainsi commence ce manuscrit inédit du Dr Watson, qu'il
rédigea en 1939 dans un hospice du Hampshire, âgé de
87 ans. Ce que révèle ce document est à peine croyable :
l'addiction du célèbre détective avait atteint un stade
irréversible, au point de déclencher des crises de paranoïa
délirante...
C'est du moins la conclusion qui s'impose au Dr Watson, le
jour où son ami se dit poursuivi par son ennemi héréditaire,
l'odieux professeur Moriarty. Mais l'agitation de Holmes,
ses propos incohérents font redouter le pire à Watson, qui
décide d'emmener Holmes se faire soigner à Vienne par un
certain... Sigmund Freud. Bientôt, le génial enquêteur et le
détective de l'âme se trouvent mêlés à une machination dont
une jeune fille semble l'innocente victime...