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Si comme d'autres grandes cités
françaises, Marseille doit, durant
les décennies 1940-1950, faire face
aux destructions de la guerre, elle
se reconstruit comme un point de
passage entre la Méditerranée et
les terres de Provence, avec leurs
mille et une facettes extraordinaires.
Marseille, c'est le regard de
Notre-Dame de la Garde qui surplombe
la ville, la mer et les îles,
mais aussi le milieu marseillais et ses clans, les marins et le Vieux-Port, le pastis et les
cacous gominés. On y travaille et on y flâne de village en village. Tout s'y mélange dans
le désordre rassurant des métropoles vivantes.
L'Estaque et les chichis, le Roucas blanc et l'aïoli, la Pointe rouge et la bouillabaisse,
Endoume et l'Olympique de Marseille, la Canebière, Pagnol et les jolies femmes... Au
sortir de la guerre, Marseille, petit morceau de France teinté d'Italie, consolide son destin
de ville portuaire. Elle se transforme et s'affirme, annonçant sa position incomparable
de grande capitale du Sud.