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Un restaurateur de tableaux du
Louvre se retrouve en présence de
Vénus, tout droit sortie de la toile
grandiose du peintre italien Botticelli. La
jeune femme s'appelle Ysé de Saint-Pierre,
nom de l'apôtre qui décide de la
destination (Purgatoire, Paradis ou
Enfer) des âmes après la mort.
Conséquence logique : le héros du livre
tombe aussitôt amoureux d'Ysé de
Saint-Pierre qui l'invite à restaurer son
âme tout en restaurant le tableau de
Botticelli !
"Cérésa est époustouflant". Le Figaro Magazine
"Don du calembour prodigué sans effets de
manches, art du portrait qui laisse le lecteur admiratif,
magie du verbe grâce à l'accouplement inattendu
des mots, moraliste sans avoir l'air d'y toucher, chic et vulgaire ; fou de vocabulaire, fantasque, érudit,
manieur d'imprévus, d'aphorismes, d'horreurs, François Cérésa est (et possède) tout cela". Le Monde
"L'art débouche sur la démence, et la restauration, impossible et dérisoire, sur le vide. Celui de sa propre vie.
La Vénus aux fleurs est le roman de l'imposture de l'art, symbole naturellement de celle de toute vie humaine.
Un roman peu ordinaire". Elle
"Vilipendé ou porté aux nues, Céline demeure le plus fascinant des parias. Ce défi, François Cérésa a eu l'audace
de le relever. Avec succès". L'Express
"Par cet hommage à Céline, François Cérésa, sans réhabiliter pour autant la teneur idéologique de Bagatelles
pour un massacre, rappelle-que ce chef-d'oeuvre se lit encore sous le manteau. Tant la honte est tenace, et l'art
au-delà de l'humain". Le Magazine Littéraire