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Une histoire vraie, bouleversante, qui vous marquera à jamais.
Dans les couloirs silencieux d'un hôpital psychiatrique, une femme dépressive trouve refuge. Pendant quinze jours, elle observe, écoute et sympathise avec les patients, découvrant des destins brisés, mais aussi des lueurs d'espoir.
Le Droit des Larmes n'est pas seulement son histoire, mais celle de tous ceux qui souffrent en silence.
Avec une plume sensible et engagée, l'auteure nous offre un témoignage poignant sur la réalité des hôpitaux psychiatriques et la lutte contre la dépression. Elle nous rappelle que cette maladie n'est pas une faiblesse, mais une épreuve que beaucoup traversent avec courage.
Ce roman est un hommage vibrant à ceux qu'elle a rencontrés, un appel à la compréhension et à l'acceptation. Parce que nous avons tous le droit de pleurer, et que parfois, pour se relever, il faut d'abord accepter de tomber.
Le Droit des Larmes : une lecture inoubliable qui vous fera voir la dépression sous un nouveau jour.
About the author
Marguerite Julia, née en 1973 à Paris, a grandi à Saint-Nom-la-Bretèche. Après des études à l'école privée Notre Dame et au lycée public de La Celle-Saint-Cloud, elle poursuit des études de Lettres à Nanterre et à la Sorbonne. Passionnée d'écriture depuis l'enfance, elle écrit divers genres littéraires, mais ne publie que peu de travaux avant 2017, en raison de ses responsabilités familiales et professionnelles. Mariée en 1996 et mère de cinq enfants, elle devient professeur de français dans le nord de la France. La perte tragique de son fils en 2002 la pousse à voyager en camping-car, une expérience qui enrichit sa créativité.
À partir de 2006, elle fonde une entreprise de cours particuliers et une association de théâtre, enseignant pendant plus de dix ans. Ce n'est qu'en 2017 qu'elle se remet à l'écriture de manière prolifique, malgré les épreuves personnelles telles que la perte de son fils, l'incendie de sa maison en 2012 et un divorce difficile en 2016. Après une période de divers emplois, elle devient journaliste locale pendant trois ans avant de revenir à l'enseignement, qu'elle exerce encore aujourd'hui. L'écriture reste pour elle un moyen de surmonter ses épreuves.