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Le problème de l'élimination des déchets des entreprises de transformation du poisson et de production de champignons est apparu au cours des deux dernières décennies en lien avec les activités d'entreprises telles que SP Santa Bremor LLC et SOOO Bonshe. Jusqu'à 15 000 tonnes de substrat de déchets et jusqu'à 1 800 tonnes de racines de champignons sont produites chaque année à SOOO Bonshe dans le district de Brest. Le stockage du substrat usagé à proximité immédiate de la production de champignons peut causer d'énormes dommages aux futures récoltes de champignons. Dans la coentreprise Santa Bremor LLC, environ 36,5 mille m3 d'eaux usées industrielles sont générées par an. Suite à leur épuration sur des équipements modernes utilisant des floculants et des coagulants, l'entreprise accumule 2 000 tonnes de boues d'épuration industrielles par an, nécessitant une élimination supplémentaire. Si ces déchets sont considérés non seulement du point de vue de la pollution environnementale, mais aussi comme des matières premières sous-utilisées, il semble alors possible de les réintégrer dans le cycle des ressources. Étant donné qu'une tonne de boues d'épuration provenant d'une usine de transformation du poisson, à teneur en humidité naturelle, contient : 14,1 kg/t d'azote, 28,6 kg/t de phosphore, 23,4 kg/t de potassium, son utilisation comme composant dans la production d'engrais organiques alternatifs est évidente.
About the author
Né en 1984 dans la région de Pinsk. En 2006, il est diplômé avec mention de la faculté d'agronomie de l'Université agraire d'État de Pinsk. En 2009, il est diplômé de l'Institut des sciences du sol et d'agrochimie. En 2009-2018. a travaillé à l'Institut agraire et écologique de Polésie de l'Académie nationale des sciences de Biélorussie. Depuis 2024, je travaille comme directeur adjoint de la recherche à l'Institut zonal d'agriculture de Vitebsk de l'Académie nationale des sciences de Biélorussi
