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Offrir une protection totale aux éléphants par le biais d'aires protégées (AP) n'a pas été sans poser de problèmes ! La protection réalisée a effectivement minimisé la nécessité pour les éléphants de se déplacer de manière saisonnière (en particulier en dehors des zones protégées) pour trouver de la nourriture, de l'eau et des refuges. Cette réalité a éliminé les contraintes naturelles de la population d'éléphants et a modifié la répartition spatiale antérieure. Les déplacements antérieurs des éléphants pour trouver les besoins de base ne les obligent plus à se déplacer de façon saisonnière, ce qui encourage directement l'augmentation de la population dans l'aire protégée. Libérés de ces contraintes, la garantie de zones de "refuge sûr", exaspérée par la fourniture d'eau artificielle, leur a permis de se redistribuer dans l'ensemble de l'aire protégée, concentrant ainsi les populations de manière plus uniforme. D'autres éléphants persécutés ont été attirés dans l'aire protégée par la perturbation du paysage extérieur due à l'empiètement urbain ; les paysages, maintenant radicalement contrastés, se sont ouverts à l'agriculture commerciale et communautaire, ce qui a entraîné une modification généralisée du paysage ; des changements non naturels ont empiété sur l'aire protégée, ouvrant la végétation naturelle qui s'y trouvait, remplacée par des possibilités de nourriture improvisées.
About the author
Als gebürtiger Simbabwer, der in einem christlichen Umfeld lebte, hatte ich mit den Wildtieren in meiner Umgebung zu tun. Ich war mit einer mechanischen Begabung gesegnet, die es mir ermöglichte, Strategien und Werkzeuge für Wildtiere zu entwickeln, die heute allgemein verwendet werden.
