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Le mal français : les beaufs ne veulent pas savoir !
Perturbé par l'incroyable rêve qu'il avait fait, lorsqu'il s'était endormi à la terrasse d'un bar, sur la place située en face de l'ancien Palais de Justice de Grenoble, au cours duquel il avait été abordé par une femme tant envoûtante que diabolique, rêve qui lui avait ouvert les yeux sur une quantité de mensonges de l'Histoire officielle, Karl décide un soir, 20 ans plus tard, de retourner dans le même bar, souhaitant inconsciemment rêver de nouveau à cette femme, afin d'en savoir plus sur le véritable projet mondialiste dont elle lui avait parlé, et qu'il voit avec effroi, se mettre en place.
Devenu le doyen de son Barreau, Karl attend la fermeture du bar, pour aller s'asseoir au milieu de la place, au pied d'une statue. Il s'endort, et enfin (!) rêve qu'elle revient, et l'invite de nouveau dans une sorte de vaisseau spatial, pour lui expliquer que la destruction et l'asservissement de l'Humanité sont déjà bien entamés. Au cours d'une longue conversation, elle lui explique, qu'à l'avenir, il n'y aura plus ni hommes ni femmes, mais, grâce à la nanotechnologie, des «fehommes» moitié êtres humains, moitié robots, totalement soumis, mangeant la même nourriture à Paris, à Pékin, ou à New York, parlant la même langue, et tous soumis à une autorité mondiale détruisant la santé des populations, afin de les rendre totalement dépendantes.
Devant l'avancement de ce projet, Karl est désespéré, mais soudain, il se remémore l'enseignement qu'il avait reçu de ces personnes lui ayant expliqué comment faire échec à ce projet satanique.
Cette fois, il y a vraiment urgence... (Roman ou réalité ?)
