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Les divers « accidents » et « incidents » dans la cartographie complexe et profonde des transmutations, des réactions ou des jeux entre diverses dynamiques peuvent être explorés à travers les interstices ou les intersections entre la physique, les mathématiques, la science des grandes données et la perception visuelle. C'est précisément dans les topologies intermédiaires, où tous les calculs deviennent incertains, que des « systèmes » de dessin innovants peuvent être réalisés. Dans l'espace des phases, même les éléments visuels les plus simples ont leurs propres propriétés complexes et leur propre « mémoire ». Ce qui peut être défini comme un « dessin de trace d'énergie » peut impliquer une modification complexe de la relation entre la matière et l'énergie. La ligne peut être redéfinie comme un tracé d'énergie (quasi) périodique, une piste ou un défaut de phase aux implications considérables. De nouveaux modes de dessin peuvent être possibles en « activant », en modifiant, voire en perturbant les diverses coordonnées et dynamiques de l'espace lui-même. Le dessin à travers l'espace peut ainsi redéfinir radicalement notre engagement dans le monde physique, au carrefour de l'art, de la philosophie, de la science et de la technologie, inspirant une recherche plus approfondie, l'innovation et le changement.
About the author
Artiste, auteur, éditeur, critique, conférencier. Doctorat financé par l'AHRC, MA, BA Fine Art, Surrey Univ./WCA. Maître de conférences à l'université de Westminster, Londres. 53e et 50e Biennale de Venise, Tate Britain, Leonardo/MIT, ISEA2010-8, LFA/Olympiade culturelle 2012, Digicult, Spéciale Z, TRACEY, NY DigitalSalon, Marks in Space 2004, ABC:MTL (CCA), EspacioEnterCanarias 2016-7.
