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La recherche met en lumière la législation et les politiques foncières, ainsi que leurs failles ou leurs limites, en ce qui concerne les droits des hommes et des femmes dans les relations foncières. Les différences en matière d'accès et de contrôle de la terre, ainsi que la durabilité de cet accès, sont également exposées, de même que les obstacles qui entravent l'accès durable des femmes à la terre. Au niveau international, l'étude a identifié divers instruments qui protègent les intérêts des femmes dans les relations foncières. Le Ghana dispose d'une législation et de politiques foncières qui concernent les relations entre la terre et le genre. Cette législation et ces politiques, bien qu'elles prévoient la protection des droits des femmes en matière foncière, présentent leurs propres faiblesses. L'étude identifie également les diverses barrières sociales et culturelles qui affectent l'accès des femmes à la terre et leur contrôle sur celle-ci, en dépit de ces législations qui favorisent l'accès des femmes à la terre et leur contrôle sur celle-ci. Au Ghana, les femmes accèdent à la terre par l'achat, l'héritage, le mariage et la location. Elles se heurtent cependant à de nombreux obstacles qui font que les hommes sont plus redevables de la terre que les femmes. La recherche révèle comment ces barrières culturelles affectent les droits fonciers des femmes et conduisent à l'insécurité alimentaire et à la pauvreté.
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WiLDAF Ghana est un réseau de défense des droits des femmes qui cherche à autonomiser les femmes en promouvant leurs droits et en augmentant leur participation et leur influence à tous les niveaux en lançant, en promouvant et en renforçant des stratégies qui lient le droit et le développement.
