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Récemment, la qualité de l'enseignement primaire a été à l'ordre du jour des élites politiques, économiques et sociales du Mozambique, et les discussions dans les forums d'opinion publique ont mis en évidence divers problèmes, tels que la formation des enseignants, la gestion institutionnelle et le manque de financement. Bien que les partenaires internationaux du gouvernement investissent des sommes d'argent dans l'enseignement primaire (une perspective économique pour l'amélioration de la qualité) afin d'améliorer les conditions scolaires, on constate que le problème persiste car les mesures prises restent cosmétiques. Il semble que le chemin pour atteindre l'excellence dans l'enseignement primaire au Mozambique soit encore sinueux. Les défis de l'amélioration de la qualité de l'enseignement primaire dépassent les capacités de l'organisation qui gère le secteur de l'éducation, et plusieurs auteurs s'intéressent à trouver une recette magique pour résoudre les problèmes de ce sous-système. Dans ce contexte, afin d'améliorer la qualité de l'enseignement primaire, il est suggéré d'introduire des réformes curriculaires en profondeur qui couvrent les aspects organisationnels et procéduraux de l'enseignement et de l'éducation dans son ensemble.
About the author
Alberto Abdul Latifo Loiola hat einen Master-Abschluss in technischer Bildung, Entwicklung und Risiko- und Katastrophenmanagement sowie einen Doktortitel in Bildungsinnovation (in Arbeit) von der Katholischen Universität Mosambik. Seine Berufserfahrung umfasst ein breites Spektrum an Interventionen in den Bereichen Forschung, Veröffentlichungen und Beratung, darunter.
