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Le 11 mars 2020, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé que la maladie redoutée, le COVID-19, était une pandémie qui nécessitait la suppression des frontières mondiales, publiques et régionales (Mirzaei, McFarland, Karamouzian et Sharifi, 2020 ; Spinelli et Pellino, 2020). Des millions d'employeurs et d'employés ont dû recourir au télétravail (travail à domicile). Bien que le COVID-19 ait durement touché les employés, il pourrait offrir une lueur d'espoir aux plus de 25 millions de personnes handicapées au Nigeria, car il fait du télétravail une approche plus acceptable et plus pratique pour les chefs d'entreprise et les employeurs (Lisa, Mason et Douglas, 2020 ; Thompson, 2020).Cette recherche exploratoire a utilisé une méthode mixte (qualitative et quantitative), une enquête et des données secondaires ont été utilisées pour rassembler des données, les données quantitatives ont ensuite été analysées à l'aide de statistiques descriptives. Les résultats de l'étude indiquent que la plupart des personnes handicapées au Nigéria considèrent le télétravail comme un arrangement de travail pratique.L'étude conclut en affirmant que des aménagements opportuns et appropriés tels que le télétravail peuvent aider les employés handicapés à rester au travail au lieu d'éviter la main-d'oeuvre, ce qui est conforme à la littérature antérieure.
About the author
Ing. Grace Kelvin Ofongo lavora con il Nigerian Content Development & Monitoring Board (NCDMB) come vicedirettore del monitoraggio e della valutazione e membro della Nigerian Society of Engineers. Ha conseguito un MBA in Gestione del petrolio, del gas e dell'energia presso l'Università UNICAF - Zambia. È sposata con Woyengiemi Kelvin Ofongo e hanno tre (3) figli.
