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La capacité d'un pays à fournir des biens, des services et des ressources est largement déterminée par l'apport de ressources humaines et de capital physique. Si la taille de la main-d'oeuvre augmente, il est possible de produire davantage à un niveau de prix donné. L'augmentation des ressources humaines, des compétences et des connaissances de la main-d'oeuvre accroît la production potentielle du pays. Il est donc impératif que le gouvernement joigne ses efforts à ceux de toutes les parties prenantes, telles que le secteur privé, le ministère de l'éducation et les organisations à but non lucratif, afin de remédier aux pénuries de compétences, à la pauvreté, au chômage et à l'analphabétisme. L'une de ces initiatives entre les parties prenantes susmentionnées est le programme d'éducation et de formation de base des adultes (ABET) qui vise, entre autres, à améliorer les compétences et les connaissances de la main-d'oeuvre. Sur cette base, la présente recherche vise à déterminer si l'EBA est un outil efficace pour améliorer les compétences et les connaissances de la main-d'oeuvre, en se référant spécifiquement aux apprenants de la Rosyln Academy for Adult Learners (RAFAL). Cette étude s'adresse en premier lieu aux employeurs et aux bénéficiaires de l'ABET. Le public secondaire est le ministère de l'éducation.
About the author
Mme Sibongile Maphumulo est maître éducateur au lycée Zeph Dlomo où elle enseigne les mathématiques. Elle est titulaire d'une licence en éducation de l'université d'Afrique du Sud et d'une maîtrise en gestion d'entreprise de l'université de KwaZulu Natal.
