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Ce travail couvre les questions sous-jacentes relatives à la présence possible d'un certain nombre d'informations induites par la mondialisation, et les impacts de la mobilité sur la sécurité sanitaire mondiale. Simultanément, il étudie la manière dont les informations sont obtenues, traitées et, par conséquent, interprétées par les individus. Plus important encore, ce livre avance l'idée d'utiliser les perspectives du post-structuralisme dans le traitement des problèmes de sécurité potentiels, en particulier au 21e siècle où la fluidité de l'information sape l'exactitude des informations obtenues par la société. En outre, la recherche examine la relation entre le processus de sécurisation et la perception de la peur. Dans le cadre de cette étude, la théorie de la sécurisation est analysée sous l'angle de la sécurité sanitaire mondiale, en se concentrant sur la récente épidémie du virus Ebola en 2014. Cette étude démontre également que la relation susmentionnée ne peut être comprise avec précision que dans une perspective post-structuraliste. L'épidémie de virus Ebola en 2014 est un sujet de préoccupation aux niveaux individuel, national et international. Cette épidémie a remis en question les réalités de la peur et les responsabilités des agences...
About the author
Jennifer Atu Afolabi est une professionnelle qualifiée en matière d'exploitation des talents, qui possède une solide expérience de la recherche et de la rédaction dans les domaines de la sécurité sanitaire mondiale et du développement mondial. Passionnée par l'entrepreneuriat social, elle met à profit son expérience multiculturelle et ses nombreux voyages pour favoriser des approches diplomatiques de résolution des problèmes.
