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Le comportement sédentaire et les mauvaises habitudes alimentaires sont associés au développement d'une inflammation chronique de bas niveau, qui est un processus métabolique caractéristique de plusieurs maladies chroniques dégénératives et/ou non transmissibles (MCNT), dont le cancer. C'est pourquoi la communauté scientifique a discuté de l'application de l'exercice physique (EP) en tant que stratégie non pharmacologique pour la prévention du cancer. L'exercice physique réduit de manière significative le risque de certains cancers (côlon, prostate, poumon, sein, entre autres). Les bénéfices de l'EP pour la prévention de cette pathologie sont multiples : amélioration du taux d'hémoglobine, meilleur contrôle du poids, renforcement du système immunitaire, augmentation de l'activité des cellules Natural Killers, etc. Parmi les diverses attributions du professionnel de l'éducation physique, la promotion de la santé et la prévention des maladies peuvent être les pratiques les plus importantes liées à ces professionnels. Par conséquent, l'importance de ces professionnels en ce qui concerne les facteurs prophylactiques liés au cancer.
About the author
Alisson Araujo e Silva, has a degree in Bachelor of Physical Education from Faculdade Maurício de Nassau- Parnaíba-PI (2018). He is currently Professor at Metha Academy, Personal Trainer, Researcher. Has experience in Physical Education with emphasis on Strength Training.
