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L'augmentation de l'utilisation humaine de métaux lourds toxiques tels que le plomb (Pb), le cadmium (Cd), le mercure (Hg) et l'arsenic (As) et leur accès au milieu marin ont suscité de nombreuses inquiétudes au cours du siècle dernier. Ces métaux lourds toxiques connus dans l'environnement marin peuvent entraîner des effets toxiques, même s'ils sont présents à des concentrations relativement faibles dans les organismes vivants. Dans cette étude, les échantillons ont été collectés dans trois villes différentes des côtes yéménites. Les villes sont nommées comme Al-Hodaeidah, Aden et AL-Mukalla, l'essai a été entrepris pour la période des saisons : hiver 2011, été 2012 et hiver 2013. Les échantillons frais ont été obtenus à partir des salles d'exposition pour la vente à la criée publique à côté des lieux de pêche. Quatre espèces de poissons ont été collectées et analysées : (empereur) Lethrinus mahsena, (thon à longue queue) Thunnus tonggol, (barracuda à main) Sphyraena jello et (mérou aréolé) Epinephelus areolatus. Les échantillons étaient les suivants : 81 échantillons d'eau de mer de surface filtrée, de sédiments et 324 échantillons de poissons (pour les muscles, le foie et les branchies), qui ont été digérés à l'aide d'acides appropriés, d'outils et de différentes méthodes, puis les concentrations de métaux lourds ont été mesurées.
About the author
Professor assistente do Departamento de Química Analítica da Ciência Farmacêutica, Faculdade de Farmácia, Universidade de Ciência e Tecnologia Aden -Yemen. Gestor da Unidade de Garantia de Qualidade e Acreditação, Universidade de Ciência e Tecnologia de Aden. Iémen.
