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La violence domestique est un problème social très médiatisé. Sa prévalence et ses causes ont fait l'objet de nombreux témoignages et débats dans les sciences sociales et les médias populaires. Les effets économiques, sociaux et psychologiques de la violence domestique (c'est-à-dire maritale ou conjugale) ont reçu une attention considérable de la part des chercheurs et des parties prenantes de l'enfance et de la famille. Cette attention est centrée sur les effets sur les enfants témoins de la violence au sein de la famille, y compris les effets sur leur propre tendance à perpétuer ou à subir la violence domestique à l'âge adulte. L'hypothèse selon laquelle " la violence engendre la violence " a de nombreuses variantes, allant de l'affirmation selon laquelle les enfants victimes de violence sont plus susceptibles de devenir eux-mêmes des agresseurs à la crainte que la violence de leurs parents n'augmente le comportement agressif des enfants. Le cycle de la violence et les effets de l'observation de la violence entre les parents sur la probabilité que ces enfants soient victimes de violence dans leur propre mariage, soit en tant qu'auteurs, soit en tant que victimes.
About the author
Anthony Kiwanuka est chargé de cours à l'Université chrétienne d'Ouganda - Mukono. Il prépare un doctorat en travail social à l'université de Makerere, à Kampala, en Ouganda. Il est titulaire d'un master en travail social clinique (santé) de l'université Loyola de Chicago (États-Unis) et d'un master en éducation et études du développement (UMU) et d'une licence en travail social (BSWSA) de l'université de Makerere.
