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Compte tenu de l'augmentation considérable du taux de criminalité et des difficultés rencontrées par les experts en criminalistique dans diverses enquêtes sur la plupart des continents du monde, en particulier dans les pays en développement où les dossiers de résidence font défaut. Il est pertinent de savoir qu'il devrait y avoir un autre outil utile dans les enquêtes criminelles en dehors de la méthode traditionnelle connue. Il existe plusieurs techniques utilisées en médecine légale pour l'identification des restes humains au cours des enquêtes. Les techniques les plus utilisées, bien qu'elles ne soient pas fiables, sont les comparaisons visuelles de caractéristiques particulières, par exemple des cicatrices spécifiques, des tatouages, etc. Le choix des techniques dépend des circonstances et de l'état des restes à examiner. Lors de conflits sociaux sensibles, de violences majeures, de catastrophes de masse ou d'attaques terroristes faisant de nombreuses victimes, l'identification des restes humains devient plus complexe et est entravée par le manque de données pré-mortem. Aujourd'hui, les complexités et les attentes du public ont rendu nécessaire l'utilisation/application des technologies de l'ADN. La technologie de l'ADN a été largement acceptée dans les enquêtes criminelles impliquant des preuves biologiques, telles que le sang, le sperme ou plus, en fonction de la nature des cas étudiés.
About the author
È docente presso il Dipartimento di Scienze Biologiche dell'Università Elizade, in Nigeria. Essendo uno dei fondatori del gruppo del programma di biotecnologia e membro del Centro per la ricerca e lo sviluppo delle biotecnologie della sua università, ha pubblicato alcuni utili articoli di bioinformatica e sul cancro in riviste autorevoli.
