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Dans cet ouvrage, nous examinons les canaux par lesquels les innovations apportées aux variables de politique monétaire - taux directeurs ou agrégats monétaires - affectent des variables macroéconomiques telles que la production et l'inflation au Sri Lanka. L'efficacité des instruments de politique monétaire est évaluée à travers le prisme des canaux de politique conventionnels (canaux de la monnaie/du taux d'intérêt, du crédit bancaire, du taux de change et du prix des actifs) dans des modèles VAR. Le moment et l'ampleur de ces effets sont évalués à l'aide de fonctions de réponse impulsionnelle, et par le biais des coefficients de transmission de la politique au marché monétaire et aux taux de prêt. Nos résultats montrent que (i) le canal des taux d'intérêt (vue de l'argent) a l'effet Granger le plus fort (aide à prévoir) sur la production avec une baisse de 0,6 pour cent de la production après le deuxième trimestre et une baisse cumulée de 0,5 pour cent sur une période de trois ans en réponse aux innovations du taux directeur ; (ii) la contribution du canal des prêts bancaires est statistiquement significative (ajoutant 0. 2 point de pourcentage à l'effet de base des taux directeurs) en affectant à la fois la production et les prix, mais avec un retard d'environ cinq trimestres pour la production et plus long pour les prix ; et (iii) les canaux du taux de change et des prix des actifs sont inefficaces.
About the author
Ha conseguito un Master of Arts in Economia finanziaria presso l'American University di Washington D.C. Dal 2009 lavora presso il Fondo Monetario Internazionale come economista nei dipartimenti africano e attualmente asiatico. I suoi interessi di ricerca riguardano la crescita, la politica monetaria e i mercati dei cambi.
