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La recherche actuelle sur le cortex pariétal postérieur chez les primates a du mal à prendre en compte le lobule pariétal inférieur (Husain & Nachev, 2007). Dans cette étude, des données neuroanatomiques provenant de primates humains et non humains sont utilisées pour étudier les changements évolutifs dans le cortex pariétal postérieur (CPP) des primates, en particulier dans l'aire pariétale inférieure. Toutes les espèces ont été testées à l'aide de trois enquêtes différentes. L'une d'entre elles consistait à comparer le volume total du CPP au volume total du cortex, une deuxième à comparer les volumes des subdivisions internes du CPP, plus précisément le lobule pariétal supérieur (LPS) et le lobule pariétal inférieur (LPI) au volume total du CPP. La troisième investigation consiste à comparer le volume des structures individuelles par rapport au volume de leurs hémisphères respectifs (par exemple, l'hémisphère gauche du SPL par rapport au volume de l'ensemble du SPL). Au total, 27 scans in vivo du cerveau de primates ont été analysés à l'aide d'IRM provenant de six espèces différentes, dont des humains, des grands singes et des singes. Un logiciel d'analyse d'images a été utilisé pour calculer les volumes cérébraux totaux.
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Emma Hopkins é Licenciada em Psicologia com experiência em psicologia e psiquiatria como Enfermeira.
