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Cette étude cherche à examiner la relation à long terme et à court terme entre la production industrielle, l'ouverture commerciale, le taux de change effectif nominal et l'inflation au Nigeria de 1986 à 2008. Pour ce faire, l'étude a utilisé le test ARDL de co-intégration proposé par Pesaran. Afin de déterminer les caractéristiques des séries chronologiques des variables utilisées dans la régression, l'étude a adopté l'approche des tests de racine unitaire de Dickey-Fuller augmenté (ADF) et de Philips Perron (PP). Les résultats de l'analyse à long terme et à court terme du modèle de correction d'erreur (ECM) ont indiqué que l'ouverture commerciale et le taux d'inflation ont un impact positif et négatif significatif respectivement sur la production industrielle. Le taux de change effectif nominal n'a aucun effet sur la production industrielle. Des tests de stabilité ont également été effectués en utilisant CUSUM et CUSUMQ, les paramètres du modèle se trouvaient à l'intérieur de ses limites critiques de 5 pour cent de niveaux de signification, donc les résultats suggèrent fortement que les résidus sont à l'intérieur des limites. L'étude conclut que pour que le Nigeria atteigne une performance industrielle persistante, le pays doit stabiliser les politiques monétaires relatives à l'inflation et au taux de change.
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Fahad Muhammad Adamu - M.Sc. Economia Financeira.
