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Cette revue de la portée examine et résume la recherche sur la santé et les disparités en matière de santé des Amérindiens d'Hawaï et des autres insulaires du Pacifique (NHOPI), synthétise les thèmes et les résultats, signale les lacunes et les limites, et fournit des recommandations pour les études futures. La littérature indique que les NHOPI souffrent de taux de morbidité et de mortalité plus élevés, de taux de pauvreté et de sans-abrisme plus importants, de discrimination, d'obésité et de maladies liées à l'obésité, ainsi que d'un risque plus élevé et d'une possible disposition génétique à d'autres maladies et conditions graves. Ils connaissent l'insécurité alimentaire et ont même une moins bonne qualité de sommeil que les autres races. Les quelques rapports sur les avantages en matière de protection de la santé qu'offrent la race et l'ethnie du NHOPI concernent des taux plus faibles de troubles du développement, de dépression, de phobies et de troubles anxieux. Cependant, les résultats ne sont pas généralisables et n'ont pas été confirmés par des recherches de suivi. Les recherches futures sur la NHOPI pourraient être encouragées et facilitées par des études comme celle-ci, en inscrivant la documentation relativement rare dans le contexte de la justice sociale et en soulignant le statut vulnérable, mal desservi et indigène des Hawaïens autochtones et des autres insulaires du Pacifique.
About the author
A Dra. Stacey Teruya tem nomeações como professora assistente na David Geffen School of Medicine da UCLA, e na Charles R. Drew University of Medicine and Science em Los Angeles, Califórnia. Os seus interesses de investigação e especialização incluem disparidades na saúde, saúde dos imigrantes, aculturação, orientação científica, e desenvolvimento de faculdades de investigação.
