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Ni pour la consommation humaine ni pour l'alimentation animale malgré le fait que le pois sauvage a une teneur en protéines alimentaires plus élevée que le pois de vache. Bien que nous soyons conscients que la qualité nutritionnelle des aliments ne dépend pas seulement de la disponibilité et de la bio-disponibilité des nutriments, mais plutôt de la sécurité ou de l'absence de composés toxiques ou indésirables. Il est donc nécessaire de trouver des techniques de transformation alimentaire abordables qui pourraient être utilisées pour rendre cette source potentielle de protéines alimentaires acceptable pour la consommation et les animaux sous forme d'aliments.
About the author
Bello Liman, PhD: Studium der öffentlichen Gesundheit an der Texila American University, Guyana. Direktor für Gesundheit im Gesundheitsministerium von Gusau, Bundesstaat Zamfara, Nigeria. Ehemaliger Exekutivsekretär des Zamfara State Primary Health Care Management Board, Nigeria. Teilzeitmitarbeiter an der National Open University of Nigeria.
