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La criminalité chez les jeunes, qui représentent la plus grande partie de la population d'un pays, est un problème mondial. La question des jeunes et de la criminalité a fait l'objet d'une attention particulière, notamment dans les bidonvilles où l'on trouve un grand nombre de jeunes désoeuvrés, avec une population très élevée, donc un quartier encombré, avec une diversité culturelle, des niveaux de pauvreté élevés, des logements informels, des activités économiques pauvres ainsi que des ressources limitées pour prévenir la criminalité. Compte tenu de la preuve flagrante du lien entre l'appauvrissement des jeunes et la criminalité dans les zones urbaines, les gouvernements doivent mettre en place de nombreux programmes d'autonomisation visant à donner aux jeunes les moyens d'agir. En instituant ces programmes d'autonomisation, le gouvernement est en mesure d'exploiter l'énergie des jeunes. Cela les dissuade de canaliser cette énergie vers des activités criminelles. De tels programmes ont la capacité de contrôler la criminalité parmi les populations urbaines. L'une des façons dont les gouvernements peuvent améliorer l'accès à leurs programmes d'autonomisation est le renforcement des capacités des jeunes, qui sont capables d'identifier et de développer leurs capacités et d'utiliser les atouts qu'ils possèdent déjà pour prendre le contrôle de leur vie et influencer les conditions sociales qui les affectent.
About the author
Janet Muthama ist gebürtige Kenianerin und hat einen Master-Abschluss in Governance, Frieden und Sicherheit von der Africa Nazarene University und einen Bachelor-Abschluss in Konfliktlösung und humanitärer Hilfe von der Masinde Muliro University of Science and Technology. Sie ist eine starke Befürworterin von Empowerment-Programmen und dem Aufbau von Kapazitäten bei Einzelpersonen.
