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À l'heure actuelle, plusieurs facteurs peuvent entraîner une augmentation de la violence dans une communauté ; il peut s'agir de facteurs organiques, physiologiques, pathologiques, d'influences externes telles que l'environnement dans lequel se développent les premières années de la vie d'un individu, le manque d'affection et d'attention de la part des parents ou simplement une mauvaise orientation. C'est pourquoi les violations des droits de l'homme touchent aussi bien les hommes que les femmes, et leur impact varie en fonction du sexe de la victime. Les études sur le sujet nous permettent d'affirmer que toute agression perpétrée à l'encontre d'une femme présente une caractéristique qui permet de l'identifier comme une violence fondée sur le genre. Cela signifie qu'elle est directement liée à la répartition inégale du pouvoir et aux relations asymétriques établies entre les hommes et les femmes dans notre société, qui perpétuent la dévalorisation du féminin et sa subordination au masculin. Ce qui différencie ce type de violence d'autres formes d'agression et de coercition est que le facteur de risque ou de vulnérabilité est le simple fait d'être une femme, bien que les violations des droits de l'homme touchent aussi bien les hommes que les femmes.
About the author
Romel Alvarez Docente Instructor de la Universidad Nacional Experimental de la Seguridad TSU, Licenciado, Especialista, Magister y Doctor en Seguridad Ciudadana Servicio Policial.
