Read more
Les cultures indigènes de la Cordillère des Andes apparaissent aujourd'hui comme si elles reconquérissaient les terres perdues lors de l'irruption espagnole il y a cinq siècles. Le cadre choisi plutôt par la force est la ville, la seule redoute où l'on peut clairement voir une présence du mode de vie européen dans la région. C'est dans la ville où arrivent de grandes masses de population indigène du milieu du siècle à nos jours, ce qui constitue un grand choc culturel et où le mélange ethnique a lieu. La raison pour laquelle la région andine est intéressante pour observer ce choc culturel entre les indigènes et les castillans-européens, est la présence de cultures précolombiennes avec de grandes quantités de population par rapport aux blancs et aux métis. Des pays comme le Pérou, la Bolivie ou l'Équateur ont des pourcentages élevés de population indigène, qui migre de la campagne vers la ville coloniale, ce qui fait d'eux la référence de ce phénomène social.
About the author
Antonio Fernando González Recuero uko¿czy¿ studia historyczne na UCM w 2004 roku. Uko¿czy¿ kurs pedagogiczny i uzyskä dyplom studiów zaawansowanych w 2005 i 2009 roku na Uniwersytecie Madryckim.
