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Ce document commence par analyser le problème en considérant qu'aujourd'hui les plastiques sont devenus une partie indispensable de nos vies. C'est l'un des principaux ennemis de la nature car c'est un matériau synthétique dérivé d'hydrocarbures qui prend plus de 400 ans à se dégrader, il pourrait donc être considéré comme cumulatif et comme un polluant qui, bien qu'il ne semble pas causer de dommages car les plastiques sont jetés peu de temps après leur utilisation. Cependant, le plus grand problème ne réside pas dans les produits, les fibres et les récipients en plastique manufacturé, mais dans les microplastiques, qui sont des particules d'une taille inférieure ou égale à 5 mm représentant un groupe de polluants impossibles à arrêter car peu perceptibles à l'oeil nu, devenant ainsi le tueur silencieux des rivières, des lacs et des océans. Ainsi, la biodégradation des plastiques pourrait être une proposition viable lorsque l'utilisation de microorganismes est adéquate. Dans la dégradation biologique ou biodégradation, différents microorganismes interviennent, parmi lesquels il y a une grande diversité catabolique, qui sont capables de se dégrader, de se transformer ou de s'accumuler, de manière naturelle.
About the author
Sandra Butron: Dr nauk ¿cis¿ych, technologii i ¿rodowiska (UNA-Puno).Luis Supo: Dr nauk ¿cis¿ych, technologii i ¿rodowiska (UNA-Puno).Felipe Supo: dr nauk spöecznych i socjologii (UNMSM-Lima).
