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En 1912, plus de 50 cabarets ont été ouverts à Moscou et à Saint-Pétersbourg seulement. Pour la plupart, ils se sont enflammés et sont sortis, sans laisser de traces. Par conséquent, les publications de journaux et de magazines de ces années-là, qui couvrent la vie culturelle de la Russie, sont presque la principale source d'évaluation ultérieure de l'oeuvre et de la vie des courgettes littéraires et artistiques. Les observateurs de théâtre des grands journaux et magazines russes ont vu dans le cabaret une imitation directe des petits théâtres européens. Le cabaret d'ouverture a été présenté par les journalistes comme un phénomène de mode éphémère, une sorte de divertissement cherchant à attirer l'attention et à gagner plus d'argent. À ces publications s'opposent des matériaux sérieux dans des publications théâtrales, dont les auteurs tentent d'expliquer la grande passion pour le cabaret, d'en identifier le début et les raisons. Ce travail tente de classer certains de ces matériaux. Pour une compréhension objective du mode de vie des cabarets littéraires et artistiques créés par la presse dans les années 1910 dans l'esprit de leur public, de nombreuses sources sont comparées.
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Se graduó en la Facultad de Periodismo de la Universidad Estatal de Moscú Lomonosov en 2010.
