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Le battage médiatique n'est pas un phénomène nouveau au Bangladesh. Il est largement admis que l'intensité du battage médiatique au Bangladesh a rapidement augmenté au fil des ans. Nous ne pouvons pas nier le fait que le battage médiatique est devenu une activité rentable tant pour les reporters que pour les propriétaires des médias, qu'ils soient imprimés ou électroniques. La moralité, l'intégrité et l'objectivité des médias d'information ont été bannies du domaine du journalisme objectif. Le grand public dépend des médias d'information pour de nombreuses informations. Lorsque les gens voient que les médias leur fournissent des nouvelles ou des informations fausses, à moitié vraies ou déformées, ils perdent leur intérêt et leur confiance dans les médias. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé au Bangladesh. Je pense que le recours au battage médiatique devrait être considéré comme un délit punissable. Cette mesure pourrait réduire l'intensité du battage médiatique. La plupart des propriétaires de médias dans notre pays sont des hommes d'affaires endurcis. Leur seul but est de faire des bénéfices par n'importe quel moyen, qu'il soit juste ou non. Les responsabilités sociales et les obligations morales sont presque absentes de leurs pensées et de leur conscience. Nous n'avons pas d'organisme de régulation de la presse fort. Cela donne à nos journalistes une marge de manoeuvre débridée pour exagérer et déformer les faits ou les incidents réels.
About the author
El Sr. Mohammad Jamal Uddin trabaja actualmente como editor de negocios del popular diario Ittefaq. Su presente libro abarca la rigurosa publicidad formada por los medios de comunicación de masas de la construcción, particularmente disponible de compartir la existencia del ser u objeto expuesto debido al desastre de la Plaza Rana ocurrido el 24 de abril de 2013.
