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« Ce qui importe, c'est : marcher. Et il reste des traces, dans la neige. Il faut marcher sans s'arrêter. »
Vera Székely
Après une formation de graphiste en Hongrie, la plasticienne Vera Székely (1919-1994), membre du collectif de céramistes Székely-Borderie, s'est confrontée au travail de la terre, du métal, du bois, du verre pour arriver à son épanouissement par le textile.
Dès lors, Vera Székely avoue « nager et danser dans l'espace pour y laisser une trace » avec ses installations éphémères de feutre ployé ou ses structures de toile tendue, « voiles armées » qui seront exposées dans le monde entier, notamment à la Biennale internationale de la tapisserie, Lausanne (1981), au Musée national d'art moderne-Centre- Georges-Pompidou (1982), au musée d'Art moderne de la Ville de Paris (1985), au Lunds Konsthall, Suède (1988)...
« What matters is : to walk. And, in the snow, the tracks remain. One must never stop walking. »
Vera Székely
After training as a graphic designer in Hungary, the visual artist Vera Székely (1919-1994), a member of the Székely-Borderie ceramicist collective, worked in clay, metal, wood and glass to reach her artistic fulfillment in textiles.
From this point onwards, Vera Székely claimed to be « swimming and dancing in space to leave traces » with her ephemeral installations of folded felt, stretched canvas structures and « braced sails » that would be exhibited throughout the world, notably at the Biennale internationale de la tapisserie, Lausanne (1981) the Musée national d'art moderne, Centre Georges Pompidou (1982), the Musée d'art moderne de la ville de Paris (1985), the Lunds Konsthall, Sweden (1988)...
