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Le jour où ils étaient descendus du train à Paris, une dizaine d'années plus tôt, ils étaient convaincus d'être arrivés à bon port et ils s'étaient mis à chercher les Chantiers de l'Atlantique dans la capitale française. Ils mirent du temps à comprendre que, là où ils étaient arrivés, à la gare Saint-Lazare, il n'y avait pas la mer. Pour la trouver, il fallait pousser jusqu'à Saint-Nazaire. Ne connaissant pas la langue, ils avaient mal compris la destination. Au début de l'été 1936, Giovanni Rossetti venait de terminer son travail sur une merveille de l'époque : le tout nouveau transatlantique Normandie, fleuron des Chantiers de l'Atlantique.
Il giorno in cui erano scesi dal treno alla stazione Parigi, una decina d'anni prima, erano convinti di essere giunti a destinazione e si misero a cercare i Cantieri dell'Atlantico nella capitale francese. Impiegarono del tempo a capire che dov'erano arrivati, alla gare Saint Lazare, non c'era il mare. Per quello, dovevano proseguire ancora, in direzione Saint Nazaire. Non conoscendo la lingua, avevano frainteso la destinazione. Al principio dell'estate del 1936, Giovanni Rossetti aveva appena finito di lavorare a una meraviglia dell'epoca : il nuovissimo transatlantico Normandie, fiore all'occhiello dei Cantieri dell'Atlantico.