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Le travestissement, les jeux d'inversion sexuelle ou encore les supercheries littéraires représentent des lieux communs de la littérature1 et sont considérés comme des thèmes attractifs. Par ailleurs, le thème de l'androgyne s'avère inépuisable et modulable et apparaît surtout dans la littérature du XIXe siècle à travers la veine romanesque2. Cette apparition dans les oeuvres romanesques s'explique par le fait que le roman est un genre " élastique3 " qui permet alors d'accueillir une " figure dont le caractère polymorphe demande de la place pour s'étendre4 ". Cependant, dans la littérature, la figure de l'androgyne n'est plus perçue comme cet être qui unit les deux sexes en un seul mais elle aura tendance à être représentée sous la forme d'un jeune homme efféminé ou d'une jeune femme masculinisée5 qui permet d'être plus réaliste pour l'époque. C'est dans cette vogue littéraire du mythe de l'androgyne que l'on peut retrouver des romans célèbres comme Mademoiselle de Maupin publié en 1835 de Théophile Gautier ou encore Gabriel publié en 1839 de George Sand.
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Après l'obtention de sa licence de lettres modernes, Charlotte intègre un master de lettres - parcours métiers du livre et de l'édition dans le but de travailler dans l'univers du livre. À la suite de divers stages (Actes Sud, Éditions Deuxième époque, Sauramps librairies), elle obtient un CDI chez Cultura en tant que libraire littérature et polar.
